Pharmacist’s Role in Improving Medication Safety for Patients in an Allogeneic Hematopoietic Cell Transplant Ambulatory Clinic

Authors

  • Lina Ho University Health Network
  • Keith Akada University Health Network
  • Hans Messner University Health Network
  • John Kuruvilla University Health Network
  • Janice Wright Hotel Dieu Shaver Health and Rehabilitation Centre
  • Jack T Seki University Health Network and University of Toronto

DOI:

https://doi.org/10.4212/cjhp.v66i2.1233

Keywords:

medication reconciliation, medication discrepancy, drug therapy problems, medication safety, allogeneic hematopoietic cell transplantation, ambulatory clinic, bilan comparatif des médicaments, divergence médicamenteuse, problèmes pharmacothérapeutiques

Abstract

ABSTRACT

Background: Patients undergoing allogeneic hematopoietic cell transplantation (allo-HCT), supported by complex drug regimens, are vulnerable to drug therapy problems (DTPs) at interfaces of care after discharge from hospital and may benefit from timely pharmacy interventions and education.

Objective: To determine the effect on medication safety of, as well as potential barriers to, incorporating a pharmacist in the multidisciplinary team of an allo-HCT clinic.

Methods: Two pharmacists rotated to attend the allo-HCT clinic of a tertiary care, university-affiliated cancer centre between January and June 2010 (coverage for 1 of 3 clinic days per week). For every patient who was seen by a pharmacist, all discharge medications were reconciled from the inpatient ward to the clinic. The pharmacists’ primary task was to perform medication reconciliation and to identify and resolve DTPs. The pharmacists also provided medication education to patients and pharmacy consultations to clinic staff. Working with the outpatient pharmacy, the pharmacists helped to clarify prescriptions and drug coverage issues. Medication discrepancies identified and interventions performed by the pharmacists were recorded and were later graded for clinical significance by a panel of clinicians. Patient and staff satisfaction surveys were conducted at random during the study period. Barriers to the flow of patient care and other operational issues were documented.

Results: The 2 pharmacists saw a total of 35 patients over 100 visits. They identified a total of 50 medication discrepancies involving 17 (49%) of the patients and 70 DTPs involving 23 (66%) of the patients. Thirty-one of the 70 DTPs resulted directly from a medication discrepancy. Twenty (95%) of the 21 unintentional medication discrepancies and 7 (70%) of the 10 undocumented intentional medication discrepancies were graded as clinically significant or moderately significant. Satisfaction surveys completed by patients and clinic staff yielded positive responses supporting pharmacists’ participation.

Conclusions: Pharmacists working as part of the multidisciplinary team identified and resolved medication discrepancies, thereby improving medication safety at the allo-HCT clinic.

RÉSUMÉ

Contexte : Les patients subissant une greffe allogénique de cellules souches hématopoïétiques (GACSH), appuyée par un traitement médicamenteux complexe, sont vulnérables aux problèmes pharmacothérapeutiques lors de changement de milieu de soins après avoir reçu leur congé de l’hôpital et pourraient tirer profit d’interventions et de conseils pharmaceutiques en temps opportun.

Objectif : Déterminer les répercussions sur la sécurité des médicaments de la participation d’un pharmacien et les obstacles potentiels à sa participation à l’équipe multidisciplinaire d’une unité clinique de GACSH.

Méthodes : Deux pharmaciens se sont relayés pour se joindre à l’équipe de l’unité clinique de GACSH d’un centre de cancérologie tertiaire affilié à une université, entre janvier et juin 2010 (participation à une des trois journées par semaine d’ouverture de l’unité clinique). Pour chaque patient qu’il a rencontré, le pharmacien a comparé les médicaments prescrits au départ de l’hôpital au schéma pharmacothérapeutique adopté à l’unité de GACSH. La principale tâche des pharmaciens était d’effectuer un bilan comparatif des médicaments et de détecter et de résoudre tout problème pharmacothérapeutique. Les pharmaciens devaient également fournir des conseils sur les médicaments aux patients et des consultations au personnel de l’unité clinique. En collaboration avec la pharmacie externe, le pharmacien aidait à clarifier les ordonnances et à préciser les modalités de remboursement des médicaments. Les divergences médicamenteuses relevées par les pharmaciens et les interventions effectuées par ceux-ci ont été consignées, puis dans un second temps classées par un panel de cliniciens selon leur importance clinique. Des sondages sur la satisfaction des patients et du personnel ont été effectués au hasard pendant la période de l’étude. Les obstacles au bon déroulement des soins aux patients et d’autres problèmes de fonctionnement ont été cernés et consignés.

Résultats : Les deux pharmaciens ont vu 35 patients en tout au cours de 100 visites. Ils ont détecté un total de 50 divergences médicamenteuses touchant 17 (49 %) des patients et 70 problèmes pharmacothérapeutiques touchant 23 (66%) des patients. Trente-et-un de ces 70 problèmes pharmacothérapeutiques étaient directement attribuables à une divergence médicamenteuse. Vingt (95 %) des 21 divergences non intentionnelles et 7 (70 %) des 10 divergences intentionnelles non consignées ont été classées comme étant significatives ou modérément significatives sur le plan clinique. Les sondages sur la satisfaction remplis par les patients et le personnel de l’unité ont dégagé des réponses favorables à la participation des pharmaciens.

Conclusions : Les pharmaciens qui ont participé à l’équipe multidisciplinaire ont détecté et résolu des divergences médicamenteuses, améliorant ainsi la sécurité des médicaments à l’unité de GACSH.

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Published

2013-04-18

Issue

Section

Original Research / Recherche originale