Respiratory Syncytial Virus Infection Rates with Limited Use of Palivizumab for Infants Born at 29 to 31+6/7 Weeks Gestational Age

Authors

  • Brandi Newby Surrey Memorial Hospital
  • Todd Sorokan University of British Columbia

DOI:

https://doi.org/10.4212/cjhp.v70i1.1623

Keywords:

respiratory syncytial viruses, infant, premature, antibodies, monoclonal, humanized, virus respiratoire syncytial, nourrisson, prématuré, anticorps, monoclonaux, humanisés

Abstract

ABSTRACT

Background: Immunoprophylaxis with palivizumab can reduce respiratory syncytial virus (RSV) infections and hospitalizations. Criteria in British Columbia limit the use of palivizumab to infants born at 29 to 31+6/7 weeks gestational age, which differ from guidelines of the American Academy of Pediatrics (AAP) and the Canadian Paediatric Society (CPS).

Objective: To determine whether the limited use of palivizumab affected the frequency of hospital visits by RSV-positive infants (termed “RSV-positive hospital visits”) who received approval for palivizumab and those who met the AAP/CPS criteria but did not receive approval for palivizumab.

Methods: Data sets were generated for the period May 1, 2008, to April 30, 2011, to identify infants with gestational age of 29 to 31+6/7 weeks who were born in or transferred to the Fraser Health authority, RSVpositive results for infants less than 12 months of age who had visited Fraser Health sites and BC Children’s Hospital, and palivizumab approvals. Infants were matched across these 3 data sets through their personal health numbers.

Results: The study included 359 infants born at 29 to 31+6/7 weeks, of whom 297 met the AAP/CPS criteria. However, only 46 of these 297 received approval for palivizumab according to the BC criteria. Sixteen (4.5%) of the 359 infants had RSV-positive hospital visits during the RSV season (November through March). Of the 46 infants who received approval for palivizumab, 2 (4.3%) had RSV-positive hospital visits, and of the 251 who met the AAP/CPS criteria but did not receive palivizumab approval, 14 (5.6%) had RSV-positive hospital visits. Of the 359 infants, 6 (1.7%) had RSV-positive results while admitted to the neonatal intensive care unit, and 10 (2.8%) tested positive for RSV during a subsequent hospital visit.

Conclusions: The frequency of RSV-positive hospital visits did not differ between infants who received and those who did not receive approval for palivizumab in the Fraser Health authority. Limited use of palivizumab for RSV prophylaxis led to reasonable rates of RSV-positive hospital visits in the study population.

RÉSUMÉ

Contexte : L’immunoprophylaxie à l’aide du palivizumab peut permettre de réduire le nombre de cas d’infection par le virus respiratoire syncytial (VRS) et d’hospitalisation qui en résulte. Les critères de la Colombie-Britannique restreignent l’utilisation du palivizumab aux nourrissons dont l’âge gestationnel se situait entre 29 semaines et 31 semaines et 6 jours. En cela, ils diffèrent des lignes directrices de l’American Academy of Pediatrics (AAP) et de la Société canadienne de pédiatrie (SCP).

Objectif : Vérifier si l’utilisation restreinte du palivizumab a eu un effet sur la fréquence des visites à l’hôpital de nourrissons séropositifs pour le VRS pour lesquels on a autorisé la prescription de palivizumab et de ceux qui ont satisfait aux critères de l’AAP et de la SCP, mais pour lesquels la prescription de palivizumab n’était pas autorisée.

Méthodes : Des ensembles de données ont été produits pour la période s’étendant du 1er mai 2008 au 30 avril 2011 afin d’identifier : les nourrissons nés dans les établissements de la Régie de la santé du Fraser ou y ayant été transférés dont l’âge gestationnel se situait entre 29 semaines et 31 semaines et 6 jours; les résultats positifs pour le VRS chez les nourrissons de moins de 12 mois ayant visité les établissements de la Régie de la santé du Fraser et l’Hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique; et les cas où l’on a autorisé la prescription de palivizumab. On a assorti les données des nourrissons entre les trois ensembles à l’aide de leur numéro d’assurance-maladie personnel.

Résultats : L’étude a recensé 359 nourrissons dont l’âge gestationnel se situait entre 29 semaines et 31 semaines et 6 jours. Parmi eux, 297 répondaient aux critères de l’AAP et de la SCP. Or, le traitement par palivizumab n’a été accordé qu’à 46 de ces 297 nourrissons selon les critères de la Colombie-Britannique. Seize (4,5 %) des 359 nourrissons qui avaient visité l’hôpital au cours de la saison du VRS (novembre à mars) se sont révélés séropositifs pour le VRS. Parmi les 46 nourrissons admissibles au traitement par palivizumab, deux (4,3 %) ont visité l’hôpital et se sont avérés séropositifs pour le VRS. Parmi les 251 autres enfants répondant aux critères de l’AAP et de la SCP, mais n’ayant pas été autorisés à recevoir du palivizumab, 14 (5,6 %) ont visité l’hôpital et se sont révélés séropositifs pour le VRS. Parmi les 359 nourrissons, 6 (1,7 %) se sont avérés séropositifs pour le VRS alors qu’ils étaient admis à l’unité de soins intensifs néonatals et 10 (2,8 %) ont été déclarés séropositifs pour le VRS lors d’une visite subséquente à l’hôpital.

Conclusions : La fréquence des visites de nourrissons séropositifs pour le VRS aux établissements de la Régie de la santé du Fraser n’était pas différente entre ceux qui étaient autorisés à recevoir du palivizumab et ceux qui n’y étaient pas autorisés. Une utilisation restreinte du palivizumab pour la prophylaxie du VRS a donné des taux raisonnables de visites à l’hôpital par les nourrissons séropositifs pour le VRS dans la population de l’étude.

Downloads

Download data is not yet available.

Downloads

Published

2017-03-01

Issue

Section

Original Research / Recherche originale