Thiamine Prescribing Practices for Adult Patients Admitted to an Internal Medicine Service

Authors

  • Uzma Alim St Joseph’s Health Centre
  • Duane Bates Peter Lougheed Hospital
  • Ashten Langevin Alberta Health Services
  • Denise Werry Alberta Health Services
  • Deonne Dersch-Mills Alberta Health Services
  • Robert J Herman University of Calgary
  • Marcy Mintz University of Calgary
  • Sunita Ghosh Cross Cancer Institute

DOI:

https://doi.org/10.4212/cjhp.v70i3.1657

Keywords:

thiamine, vitamin B1, thiamine deficiency, Wernicke encephalopathy, alcohol-related disorders, vitamine B1, carence en thiamine, encéphalopathie de Wernicke, affections liées à l’alcool

Abstract

ABSTRACT

Background: Thiamine (vitamin B1) is an essential cofactor responsible for the breakdown of glucose, and its deficiency is associated with Wernicke encephalopathy (WE). There is a lack of evidence from systematic studies on the optimal dosing of thiamine for WE.

Objectives: The primary objective was to describe the prescribing patterns for IV thiamine in adult patients admitted to a large teaching hospital. The secondary objective was to evaluate the clinical resolution of WE symptoms (confusion, ataxia, and/or ocular motor abnormalities) in
relation to the dose of IV thiamine prescribed.

Methods: A retrospective design was used to review data for adult patients admitted to an internal medicine service from June 1, 2014, to June 30, 2015. All patients included in the study received IV thiamine: low-dose therapy was defined as 100 mg IV daily and high-dose therapy was defined as dosage greater than 100 mg IV daily.

Results: A total of 141 patients were included; low-dose thiamine was prescribed for 115 (81.6%) and high-dose thiamine for 26 (18.4%). Patients for whom high-dose thiamine was prescribed were more likely to be those in whom a diagnosis of WE was being considered (12/26
[46.2%] versus 5/115 [4.3%], p < 0.001). Of the total 219 IV thiamine doses ordered, 180 (82.2%) were for 100 mg, and 143 (65.3%) were prescribed for once-daily administration. There was no statistically significant difference in the time to resolution of WE symptoms for patients receiving high-dose versus low-dose thiamine.

Conclusions: A wide variety of thiamine prescribing patterns were noted. This study did not show a difference in time to resolution of WE symptoms in relation to the dose of IV thiamine. Additional large-scale studies are required to determine the optimal dosing of thiamine for WE.

RÉSUMÉ

Contexte : La thiamine (vitamine B1) est un cofacteur essentiel responsable du métabolisme du glucose. Une carence en thiamine est associée à l’encéphalopathie de Wernicke (EW). Or, on observe une absence de données probantes provenant d’analyses systématiques portant sur la
posologie optimale de thiamine dans le traitement de l’EW.

Objectifs : L’objectif principal était de décrire les habitudes de prescription de thiamine à administrer par voie intraveineuse chez les patients adultes admis dans un important hôpital universitaire. L’objectif secondaire était d’évaluer la disparition clinique des symptômes de l’EW (confusion, ataxie ou troubles moteurs oculaires) en fonction de la dose prescrite de thiamine à administrer par voie intraveineuse.

Méthodes : Un plan d’étude rétrospectif a été utilisé pour étudier les données concernant les patients adultes admis à un service de médecine interne entre le 1er juin 2014 et le 30 juin 2015. Tous les patients à l’étude ont reçu de la thiamine par voie intraveineuse : le traitement à faible dose était de 100 mg par jour et le traitement à dose élevée excédait 100 mg par jour.

Résultats : Au total, 141 patients ont été admis à l’étude; l’on a prescrit une faible dose de thiamine à 115 (81,6 %) d’entre eux et une dose élevée aux 26 (18,4 %) autres. Les patients qui se sont vus prescrire une dose élevée de thiamine étaient vraisemblablement ceux pour qui l’on envisageait un diagnostic d’EW (12/26 [46,2 %] contre 5/115 [4,3 %], p < 0,001). Pour l’ensemble des 219 doses prescrites de thiamine à administrer par voie intraveineuse, 180 (82,2 %) étaient de 100 mg et 143 (65,3 %) devaient être injectées à une fréquence uniquotidienne. On n’a relevé aucune différence statistiquement significative quant au temps de disparition des symptômes de l’EW entre les patients ayant reçu une dose élevée de thiamine et ceux en ayant reçu une faible dose.

Conclusions : On a noté une grande variété d’habitudes de prescription de la thiamine. La présente étude n’a pas montré que la dose de thiamine administrée par voie intraveineuse changeait le temps nécessaire à la disparition des symptômes de l’EW. Il est nécessaire de mener de plus amples études à grande échelle afin de déterminer quelle est la posologie optimale de thiamine dans le traitement de l’EW.

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Published

2017-06-30

Issue

Section

Original Research / Recherche originale