Pharmacoeconomic Analysis of Prophylactic Treatments for Emesis Secondary to Breast Cancer Chemotherapy

Authors

  • George Dranitsaris
  • Carlo De Angelis
  • David Warr
  • Lutchmie Narine

DOI:

https://doi.org/10.4212/cjhp.v48i5.2321

Keywords:

cost-effectiveness, dexamethasone, emesis, metoclopramide, ondansetron, coût/efficacité, dexaméthasone, métoclopramide, ondansétron, vomissements

Abstract

ABSTRACT

The objectives of this study were to perform a cost effectiveness analysis of ondansetron plus dexamethasone against standard metoclopramide antiemetic combinations in the prevention of acute and delayed emesis following breast cancer chemotherapy protocols administered within the institutional setting. A retrospective chart review was conducted on 163 inpatients who received 5-fluorouracil, cyclophosphamide and epirubicin (FEC) or doxorubicin (FAC). The proportion of patients with complete control of emesis within the first 24 hours (acute) and between 24-72 hours after the completion of chemotherapy (delayed) were determined. A comparative cost model was applied from a hospital perspective. Costs of primary therapy, rescue therapy, nursing costs for breakthrough emesis, extended hospitalization for uncontrolled emesis, and side effects were included in this calculation. The percentage of patients in the ondansetron group who experienced complete emesis control in the acute period was 69.4% compared to 49.2% in the metoclopramide group (p=0.015). The incremental cost in the ondansetron group was $26.83 per additional episode of emesis avoided. In the delayed emetic time frame, patients on ondansetron and those on the metoclopramide regimen had comparable rates of complete control of emesis, 58.2% vs. 47.7% (p=0.25), respectively. The incremental ondansetron cost was $80.19 per episode of emesis avoided. The results of this analysis suggest that ondansetron in combination with dexamethasone is an economically attractive treatment strategy in the hospital setting for the prevention of acute emesis. The use of ondansetron beyond the first 24 hours following moderately emetogenic chemotherapy becomes a more expensive treatment.

RÉSUMÉ

Le but de cette étude était de comparer le rapport coût/efficacité de l'association ondansétron-dexaméthasone à celui des associations standard d'antiémétiques avec métoclopramide, dans la prévention des vomissements immédiats et tardifs consécutifs aux séances de chimiothérapie contre le cancer du sein données en milieu hospitalier. Les chercheurs ont mené une analyse rétrospective des dossiers thérapeutiques de 163 patients hospitalisés auxquels on a administré l'association 5-fluorouracil-cyclophosphamide-épirubicine (FEC) ou doxorubicine (FAC). Ils ont évalué le pourcentage de patients qui ont obtenu une parfaite maîtrise de leurs vomissements dans les 24 heures suivant la chimiothérapie (vomissements immédiats) et dans les 24 à 72 heures après la chimiothérapie (vomissements tardifs). Un modèle de coûts comparés a été utilisé pour évaluer divers aspects des soins hospitaliers, notamment les coûts en terme de traitement principal, de traitement de secours, de soins infirmiers pour les vomissements perthérapeutiques, de séjour prolongé dû aux vomissements non maîtrisés et d'effets indésirables. Le taux de patients du groupe ondansétron ayant obtenu une parfaite maîtrise de leurs vomissements immédiats a été de 69,4 %, comparativement à 49,2 % pour les patients du groupe métoclopramide (p = 0,015). Le coût additionnel par épisode émétique évité était de 26,83 $ dans le groupe ondansétron. De plus, le taux de patients ayant obtenu une maîtrise parfaite de leurs vomissements tardifs était semblable pour le groupe ondansétron, 58,2 % et le groupe métoclopramide, 47, 7 % (p = 0,25). Le coût additionnel par épisode émétique évité dans ce cas-ci était de 80, 19 $ pour le groupe ondansétron. Les résultats de cette analyse portent à croire que l'ondansétron associé au dexaméthasone constitue une stratégie thérapeutique économique et intéressante pour le milieu hospitalier dans la prévention des vomissements immédiats. En revanche, l'utilisation de l'ondansétron après les 24 premières heures suivant une chimiothérapie modérément émétogène s'avère plus dispendieux.

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Published

2018-08-05

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