Evaluation of Pharmacists’ Interventions at a University Teaching Hospital

Authors

  • Lynda M. Olson College of Pharmacy, Advocate Christ Medical Center
  • Sheetal Desai H. Lee Moffitt Cancer Center
  • Marisa L. Soto El Rio Disease State Management Program
  • Shaida Namazifard University Medical Center
  • Amanda K. Quelland University Medical Center
  • Brian L. Erstad University of Arizona

DOI:

https://doi.org/10.4212/cjhp.v58i1.283

Keywords:

interventions, medication errors, cost–benefit analysis, erreurs de médication, analyse coût-avantage

Abstract

ABSTRACT

Objectives: The primary purpose of this pilot study was to help justify the positions of clinical pharmacists by identifying and describing the interventions most likely to have the greatest impact on patient care in terms of severity of medication-related problems and associated costs. A secondary objective was to identify potential problems related to data collection and cost estimation, to allow appropriate changes in documentation procedures for future data collection.

Methods: All clinical interventions by staff pharmacists reported at a university medical centre during the period September to November 2001 were analyzed retrospectively. The focus was on interventions that prevented adverse drug events (described as very serious and serious on documentation forms). The cost impact was analyzed in terms of cost savings attained by shortening a planned course of drug therapy and cost avoidance achieved by avoiding adverse drug events.

Results: Five pharmacists reported a total of 47 interventions. Approximately twice as many of the avoided adverse drug events were deemed serious as were deemed very serious. A substantial proportion of the interventions (21 [45%]) took approximately 15 to 30 min to perform. Order clarification and corrections and provision of drug information accounted for the most interventions (17 [36%] and 15 [32%], respectively). Approximately 60% of all interventions were classified as subtherapeutic dosing (10 [21%]), untreated disease states (6 [13%]), potential overdose (6 [13%]), and failure to receive drug (5 [11%]). According to published work on the cost of adverse drug events, the total cost avoidance for the 33 preventable adverse drug events reported by pharmacists in this study was US$84,631 and the cost–benefit ratio was 1.2. One of the problems noted in the economic analysis was the difficulty in assigning more specific cost figures to each of the interventions that was estimated to result in more than US$1000 in cost savings.

Conclusions: Pharmacists can play an important role in preventing medication-related problems (particularly adverse drug events), and the interventions they perform are cost-beneficial. 

RÉSUMÉ

Objectifs : Le principal objectif de cette étude pilote était de contribuer à justifier les postes de pharmaciens cliniciens, en déterminant et en décrivant les interventions les plus susceptibles d’exercer l’effet le plus important sur les soins aux patients, sur le plan de la gravité des problèmes liés à la pharmacothérapie et des coûts qui y sont associés. Un deuxième objectif était de déterminer les problèmes potentiels liés à la collecte des données et à l’estimation des coûts afin d’apporter les changements nécessaires aux méthodes de documentation pour les collectes de données futures.

Méthodes : Une étude rétrospective de toutes les interventions cliniques consignées par les pharmaciens dans un centre médical universitaire a été effectuée pour la période de septembre à novembre 2001. L’attention a été portée aux interventions qui ont prévenu les événements indésirables liés aux médicaments (décrits comme très graves et graves sur les formulaires de documentation). La répercussion sur les coûts a été analysée en matière d’économies réalisées par l’abrégement de la pharmacothérapie prévue et l’évitement des événements indésirables liés aux médicaments.

Résultats : Cinq pharmaciens ont consigné un total de 47 interventions. Il y avait environ deux fois plus d’événements indésirables évitables liés aux médicaments jugés graves que très graves. Une proportion considérable d’interventions (21 [45 %]) ont nécessité un temps d’exécution d’environ 15 à 30 minutes. Les clarifications et les corrections d’ordonnances et la prestation d’information sur les médicaments représentaient la plupart des interventions (17 [36 %] et 15 [32 %], respectivement). Environ 60 % de toutes les interventions ont été classées dans les catégories suivantes : posologie sous-thérapeutique (10 [21 %]), affections non traitées (6 [13 %]), surdose potentielle (6 [13 %]) et absence de traitement médicamenteux (5 [11 %]). Selon les données publiées sur le coût des événements indésirables liés aux médicaments, des coûts totaux de 84 631 $ US ont été évités pour les 33 événements indésirables évitables liés aux médicaments déclarés par les pharmaciens dans le cadre de cette étude, pour un ratio coûtsbénéfices de 1.2. L’une des difficultés de l’analyse économique a été l’attribution d’une valeur plus spécifique aux interventions engendrant des économies estimées à plus de 1 000 $ US chacune.

Conclusions : Les pharmaciens peuvent jouer un rôle important dans la prévention des problèmes liés à la pharmacothérapie (particulièrement les événements indésirables liés aux médicaments) et leurs interventions sont avantageuses par rapport à leurs coûts.

Downloads

Download data is not yet available.

Downloads

Issue

Section

Articles