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Conflict between Pharmacy Preceptors and Pharmacy Learners in Experiential Education

Authors

  • Jennifer Kendrick Children’s and Women’s Health Centre of BC, The University of British Columbia
  • Arielle Beauchesne The University of British Columbia, Mainland Pharmacy Services
  • Yunji Valerie Lee Lower Mainland Pharmacy Services, Providence Health Care
  • Sue Corrigan Lower Mainland Pharmacy Services, Eagle Ridge Hospital, The University of British Columbia
  • Roxane Carr Children’s and Women’s Health Centre of BC, The University of British Columbia

DOI:

https://doi.org/10.4212/cjhp.v74i1.3044

Abstract

Background: The relationship between a preceptor and a learner is complex and can be prone to conflict. The issue of conflict in experiential education has been studied in medicine, nursing, social work, and education; however, conflict between pharmacy preceptors and learners has not been described.

Objective: To describe types of conflict between pharmacy preceptors and learners, the outcomes of such conflict, the impacts on the preceptor-learner relationship, and conflict-resolution strategies.

Methods: An anonymous electronic survey of pharmacist preceptors and pharmacy residents in British Columbia was conducted. The survey included various types of questions to enrich the quality of responses (e.g., Likert scale, ranking, and requests for comments). Descriptive statistics were used.

Results: Forty-nine participants completed the survey from the preceptor’s perspective, 12 from the learner’s perspective, and 4 from both perspectives. Sixty percent of preceptors (32/53) and 75% of learners (12/16) admitted experiencing conflict. Preceptors (n = 27) cited the learner’s professionalism (74%), knowledge/skills (59%), communication issues (59%), personal issues (56%), and punctuality/ attendance (52%) as causes of conflict. Learners, however (n = 12), cited differing expectations (67%), teaching versus learning style preferences (50%), and communication issues (67%) as causes of conflict. The majority of preceptors and learners indicated that conflict had negatively affected the relationship; however, most preceptors (69% [18/26]) and learners (50% [6/12]) agreed or strongly agreed with the statement, “I have generally felt comfortable working with preceptors/learners after a conflict.” More learners than preceptors felt that the learner’s ability to perform was negatively affected by the conflict (92% [11/12] versus 52% [13/25]). Preceptors were more likely to take initiative to resolve conflict. Verbal communication was the method of conflict resolution preferred by both preceptors and learners. Most preceptors and learners indicated that they felt that conflicts were generally resolved.

Conclusions: Conflict was common in the pharmacy preceptor-learner relationship. Pharmacy preceptors and learners had different perspectives about the causes and outcomes of conflict.

RÉSUMÉ

Contexte : La relation entre le précepteur et l’apprenant est complexe et peut entraîner des conflits. Le problème du conflit dans le domaine de l’éducation expérientielle a été étudié en médecine, en infirmerie, en travail social et en éducation; cependant, il n’existe aucune description des conflits entre les précepteurs et les apprenants en pharmacie.

Objectif : Décrire les types de conflits entre les précepteurs en pharmacie et les apprenants, les conséquences de tels conflits ainsi que les impacts sur la relation précepteur-apprenant et les stratégies de résolution de conflit.

Méthodes : Une enquête électronique anonyme a été menée auprès de précepteurs et de résidents en pharmacie en Colombie-Britannique. L’enquête comprenait diverses questions visant à enrichir la qualité des réponses (p. ex., échelle de Likert, classement et demandes de commentaires). L’étude s’appuie sur des statistiques descriptives.

Résultats : Quarante-neuf participants ont répondu à l’enquête en adoptant le point de vue du précepteur, 12 en adoptant celui de l’apprenant et 4 ont adopté le point de vue de l’apprenant et du précepteur. Soixante pour cent des précepteurs (32/53) et 75 % des apprenants (12/16) ont admis traverser des conflits. Les sources de conflits citées par les précepteurs (n = 27) sont le professionnalisme de l’apprenant (74 %), les connaissances et compétences (59 %), les problèmes de communication (59 %), les problèmes personnels (56 %) ainsi que la ponctualité et la présence (52 %). Quant aux apprenants (n = 12), ils ont cité des attentes divergentes (67 %), des préférences de style d’enseignement ou d’apprentissage (50 %) et des problèmes de communication (67 %) comme causes de conflit. La majorité des précepteurs et des apprenants ont indiqué que ces conflits avaient affecté la relation; cependant, la plupart des précepteurs (69 % [18/26]) et des apprenants (50 % [6/12]) étaient d’accord ou fortement d’accord avec l’énoncé suivant : « En général, je me suis senti à l’aise de travailler avec des précepteurs ou des apprenants après un conflit. » Un plus grand nombre d’apprenants que de précepteurs ont perçu que le conflit avait perturbé la capacité de l’apprenant (92 % [11/12] par rapport à 52 % [13/25]). Les précepteurs étaient plus enclins à faire preuve d’initiative pour résoudre le conflit. La communication verbale était la méthode de résolution de conflit préférée des précepteurs et des apprenants. La plupart des précepteurs et des apprenants ont indiqué ressentir que les conflits étaient généralement résolus.

Conclusions : Le conflit était répandu dans la relation précepteur et apprenant en pharmacie. Les précepteurs en pharmacie et les apprenants avaient différents points de vue sur les causes et les conséquences de ces conflits.

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2021-01-15

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