Trends in Use of Combination Antiretroviral Therapy and Treatment Response from 2000 to 2016 in the Canadian Observational Cohort (CANOC): A Longitudinal Cohort Study
DOI:
https://doi.org/10.4212/cjhp.3234Abstract
Background: Advances in treatment have turned HIV from a terminal illness to a more manageable condition. Over the past 20 years, there have been considerable changes to HIV treatment guidelines, including changes in preferred antiretrovirals and timing of initiation of combination antiretroviral therapy (cART).
Objective: To examine real-world trends in cART utilization, viral control, and immune reconstitution among people living with HIV in Canada.
Methods: Data were obtained from the Canadian Observational Cohort
(CANOC). CANOC participants were eligible if they were antiretroviral therapy–naive at entry and initiated 3 or more antiretrovirals on or after January 1, 2000; if they were at least 18 years of age at treatment initiation; if they were residing in Canada; and if they had at least 1 viral load determination and CD4 count within 1 year of CANOC entry. Baseline and annual mean CD4 counts were categorized as less than 200, 200–350, 351–500, and more than 500 cells/mm3. Annual mean viral loads were reported as suppressed (< 50 copies/mL), low (50–199 copies/mL), or high detectable (≥ 200 copies/mL). The cART regimens were reported yearly.
Results: All CANOC participants were included (n = 13 040). Over
the study period, the proportion of individuals with an annual mean CD4 count above 500 cells/mm3 increased from 16.3% to 65.8%, while the proportion of individuals with an undetectable mean viral load increased from 10.6% to 83.2%. As of 2007, the most commonly prescribed 2-agent nucleoside reverse transcriptase inhibitor backbone was tenofovir disoproxil fumarate and emtricitabine. In terms of third agents, non-nucleoside reverse transcriptase inhibitors were the most common class in the periods 2000–2003 and 2014–2015, protease inhibitors were most common in the period 2004–2013, and integrase inhibitors were most common in 2016.
Conclusions: Concordance with treatment guidelines was demonstrated over time with respect to cART prescribing and immunologic and virologic response.
RÉSUMÉ
Contexte : Les progrès effectués dans le domaine des traitements ont transformé le VIH. Celui-ci est passé d’une maladie en phase terminale à une maladie plus gérable. Au cours des 20 dernières années, des changements considérables ont eu lieu dans les directives de traitement du VIH, y compris des changements dans les antirétroviraux privilégiés et le moment de l’initiation de la thérapie antirétrovirale combinée (TARc).
Objectif : Examiner les tendances réelles de l’utilisation de la TARc, du contrôle viral et de la reconstitution immunitaire chez les personnes vivant avec le VIH au Canada.
Méthodes : Les données ont été obtenues auprès de la Canadian Observational Cohort (CANOC). Les participants à la CANOC étaient admissibles s’ils n’avaient jamais reçu de traitement antirétroviral à l’entrée et avaient commencé la prise de 3 antirétroviraux ou plus le 1er janvier 2000 ou après cette date; s’ils avaient au moins 18 ans au moment du début du traitement; s’ils résidaient au Canada; et s’ils avaient au moins 1 charge virale et un nombre de CD4 dans l’année suivant l’entrée à la CANOC. Les numérations initiales et annuelles moyennes de CD4 ont été classées comme inférieures à 200, 200 à 350, 351 à 500, et supérieures à 500 cellules/mm3. Les charges virales moyennes annuelles ont été signalées comme supprimées (< 50 copies/mL), faibles (50 à 199 copies/mL) ou élevées détectables
(≥ 200 copies/mL). Les régimes de la TARc ont été rapportés chaque année.
Résultats : Tous les participants à la CANOC ont été inclus (n = 13 040). Au cours de la période d’étude, la proportion de personnes ayant une numération CD4 moyenne annuelle supérieure à 500 cellules/mm3 est passée de 16,3 % à 65,8 %, tandis que la part de personnes ayant une charge virale moyenne indétectable est passée de 10,6 % à 83,2 %. En 2007, la bithérapie de base d’inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse la plus couramment prescrite était le fumarate de ténofovir disoproxil et l’emtricitabine. En matière de troisièmes agents, la classe la plus courante dans les périodes 2000-2003 et 2014-2015 était les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse; les plus courants dans la période 2004-2013 étaient les inhibiteurs de protéase; et les inhibiteurs de l’intégrase étaient les plus courants en 2016.
Conclusions : La concordance avec les directives de traitement a été démontrée au fil du temps en ce qui concerne la prescription de la cART et la réponse immunologique et virologique.
Downloads
Published
Issue
Section
License
Copyright © Canadian Society of Healthcare-Systems Pharmacy.
After publication of a manuscript in the CJHP, the authors of the manuscript must obtain written permission from the CSHP (publications@cshp.ca) before reproducing any text, figures, tables, or illustrations from the work in future works of their own. If a submitted manuscript is declined for publication in the CJHP, all said rights shall revert to the authors. Please note that any forms (e.g., preprinted orders and patient intake forms) used by a specific hospital or other health care facility and included as illustrative material with a manuscript are exempt from this copyright transfer. The CJHP will require a letter from the hospital or health care facility granting permission to publish the document(s).